21 janvier 2025 - Par Nogues, Agathe - Catégorie : International
Exercices titres
Titre 1 : Halloween le 31 octobre ou le 1er novembre, la question qui divise
Titre 2 : Grève et suspension d’activités : des groupes communautaires en colère
Titre 3 : La chute du Nouveau Parti démocratique au Canada : aucune inquiétude pour le chef de la coalition
Titre 4 : La préservation des droits d’auteur au Québec, le cri du cœur de l’ensemble culturel québécois
Titre 5 : Vol de données personnelles chez Desjardins : 2,9 millions de leurs membres concernés
Titre 6 : Pics de pollution à New Delhi, les autorités déclarent un état d’urgence sanitaire
Titre 7 : Un nouvel accord de paix re négocié et signé pour la Colombie
Titre 8 : Une nouvelle enquête sur les violences sexuelles dans les cégeps : un désir de mieux faire
Titre 9 : Forêts boréales du Québec : nous aussi, nous avons de quoi nous inquiéter
Titre 10 : Six nouveaux Québécois à Ottawa, peut-être le temps du changement
Titre 11 : Céline Dion tire sa révérence à Las Vegas
Exercice de réécriture
Un grand-père condamné pour des faits de violences sexuelles sur sa petite-fille de 5 ans
Mardi dernier se déroulait le procès d’un homme de 55 ans, coupable d’incitation à des contacts sexuels envers sa propre petite fille, âgée de seulement 5 ans.
Le 4 septembre 2008, l’homme, provenant de St-François-Xavier-de-Brompton, faisait l’objet d’un mandat d’arrestation. Attendu le 15 octobre suivant pour comparaitre devant le juge Michel Beauchemin, son avocate, Me Gabrielle Lemay, plaidait une peine de trois de détention pour son client, rappelant qu’il ne possédait aucun antécédent judiciaire. Du côté des victimes, leur avocat, Me André Campagna, lui, désirait une sentence plus importante de six mois.
Finalement, c’est à une peine de quatre mois avec trois années de probation qu’a été condamné l’accusé. De plus, son nom, que la loi nous empêche de divulguer, sera inscrit dans le registre des délinquants sexuels. Il devra, aussi, se soumettre à des prises d’échantillon corporelles afin que son ADN soit retranscrit dans les fichiers de police. Finalement, il lui est interdit de se trouver dans des endroits publics susceptibles d’être fréquentés par des enfants.
Les faits pour lesquels l’homme a été condamné remontent au 1er juin 2008. Celui-ci alors, seul avec sa petite fille, avait demandé à l’enfant si elle savait ce qu’était le « machin » qu’il tenait dans sa main, désignant son pénis. Celle-ci, sans trop comprendre ce qui lui arrivait, avait refusé.
La mère de l’enfant s’était vite rendu compte de la situation après que son père, l’homme en question, ait embrassé sa fille un peu plus tard dans la journée. Ses doutes se sont révélés, très vite, vrais puisque celle-ci a, de suite, confronté le quinquagénaire qui s’est, automatiquement, livré aux aveux.